dimanche 14 octobre 2007

Flics et taser : encore un mort..



À Vancouver, des flics ont utilisé un taser contre un homme désorienté, et celui-ci est mort peu après. Ça ne vous rappelle pas quelque chose ?

L'histoire complète ici.

6 commentaires:

Claude a dit…

Le contrôle des foules, par les forces policières, ne devrait pas faire appel à des armes offensives mortelles comme les "taser guns".

Le manque de jugement du policier qui a utilisé son arme contre un manifestant ne fait aucun doute.

Quelle tragédie — entièrement évitable...

Anonyme a dit…

La photo qui accompagne ce court texte n'a pas de rapport avec l'histoire dont il est question. Le gars qui s'est fait tué était dans un aéroport. Mais il est vrai que, dans des cas de ''contrôle de foule'', tazer et balles de plastique, armes mortelles, n'ont pas leur place.

La Taloche

Anonyme a dit…

Les tasers ne devraient pas être utilisés sur des humains, point à la ligne. Au lieu d'être nommés armes "non-mortelles", les tasers devraient simplement être décrits comme "moins mortels" que les armes régulières. Faudra-t-il pour faire reconnaître ce fait que les citoyens s'en servent sur des policiers??? Ce serait vraiment trop absurde...

Anonyme a dit…

Au moins, la dernière partie de l'article de Cyberpresse est rassurante:

"Selon le sergent Lemaître, l'incident n'est vraisemblablement pas relié au terrorisme."

Farruco a dit…

et un de plus...
sans surprises, les flics ont déjà laissé comprendre que la victime est probablement décédée suite à des complications de santé qui n'ont aucun rapport avec le taser.
ce matin, aux news, ils parlaient de plus de 50 morts au canada seulement avec cette arme non mortelle. j'aimerais savoir ce que c'est d'abord qu'une arme mortelle.
bande de chienNEs.
ACAB

a dit…

Un sous-comité étudiera l'utilisation du «Taser»

Tiré d'un autre article, le chien sale qui préside le sous-comité:

«À la lumière des informations disponibles dans l’Étude sur les dispositifs à impulsions, le comité considère que l’utilisation des dispositifs est parfois nécessaire dans la pratique policière. L’agent peut être contraint d’utiliser la force, mais elle doit être utilisée sans violence gratuite et avec discernement. L’agent doit tenir compte de l’urgence d’agir, de l’environnement, de l’état des suspects et de la possibilité de demander du renfort», a-t-il soutenu.

«Le pouvoir est maudit.» - Louise Michel