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Pauvre homme, il débloque complètement, la douleur le fait délirer... Et puis, peut-être pas finalement. En poursuivant la lecture de l'article, on se rappelle que Québec doit «accueillir» une importante réunion de grenouilles de bénitiers --le congrès eucharistique mondial-- et que les catholiques comptent bien se faire payer la traite par tous les paliers de gouvernement.
À la journaliste en lock-out, l'homme confie qu'il espère que «la belle collaboration» qu’il avait établie avec Mme Boucher se perpétuera. Qui se ressemble s'assemble, j'imagine. Ça explique peut-être d'ailleurs pourquoi toute la droite populiste, pourtant si prompte à pourfendre le «gaspillage de fonds publics» n'a rien à dire sur les subventions gargantuesque que reçoit l'église pour son pow-wow.
Un certain Karl avait coutume de dire que «la religion est l'opium du peuple», il faut croire que l’archevêque en a fumé du bon et qu'il espère que nous ayons tous le même dealer. Malheureusement pour lui, non.
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