En décembre 2008, la Commission des relations de travail avait statué que Quebecor avait employé des scabs pour continuer de publier le Journal de Québec alors que les employé-e-s légitimes étaient en lock-out. C'était pour un peu tout le monde le bon sens même. ...Sauf pour la Cour supérieure du Québec qui vient de statuer le contraire et a blanchi le Journal de Québec.
Décidément, les syndicats ont trop de pouvoir au Québec...
Petit baume sur le coeur des syndiqué-es, la Tribune de la presse de Québec a statué en assemblée générale qu'elle refusera dorénavant d'accréditer des journalistes de remplacement lors d'un conflit de travail. C'est purement symbolique mais quand même.
2 commentaires:
La loi anti-scabs devrait être aboli et les mesures anti-scabs devraient être inclues dans les conventions collectives. Idem pour la formule Rand.
"les syndicats ont trop de pouvoir au Québec..."
En effet, ils ont trop de pouvoir. Mais ce ne sont pas les seuls qui en trop et il y en a des bien pires!
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