Claude Larose a annoncé aujourd'hui un «mariage de raison» avec l'Action civique de Québec (ACQ), parti dont il devient le chef et qu'il représentera désormais dans le cirque électoral. Et après on se surprend du cynisme des électeurs...
Claude Larose a été pendant 16 ans le numéro deux de l'administration L'Allier. Il a dû passer au moins la moitié de sa carrière à réparer les pôts cassés par le Progrès civique et l'autre moitié à combattre leurs héritiers... de l'ACQ.
Mais Claude Larose voulait être calife à la place du calife. Au départ à la retraite du calife, il a réussi à devenir chef de son parti mais il s'est fait battre aux élections (non sans avoir contribué à pratiquement rayer de la carte l'ACQ). Déjà, sa présence comme candidat indépendant et ses attaques contre ses anciens «frêres d'armes» était pathétique. Mais là, franchement, passer du côté de ceux qu'il a combattu toute sa vie, c'est le comble. On aurait pu croire qu'il était en politique pour défendre des idées. Mais non. On voit bien que, finalement, tout ce qui l'intéresse c'est le pouvoir. Une vraie caricature!
Espérons qu'il recevra la dégelée qu'il mérite et qu'on ne le revera plus jamais!
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