Et il y a de quoi! L'affaire fait l'objet d'un grief qui est maintenant entre les mains d'un arbitre. La cause est médiatisée à souhait. Et ça commence à jaser dans les salles de rédaction. Quand c'est rendu que même un allié indéfectible comme François Bourque soulève des questions dans sa chronique, ça va mal à la shop!
Le plus drôle c'est que Régis Labeaume lui-même donne des arguments aux critiques. En effet, l'an dernier il plaidait pour une présence du public dans le déneigement au côté du privé pour mieux contrôler les prix. La question assassine de François Bourque demeure on ne peut plus pertinente.
Il est possible que le marché des ordures soit différent de celui du déneigement et que les risques de collusion y soient moindres. Mais qui peut le garantir?
Avec un peu de chance, le maire devra peut-être reculer sur celle là. Ou au moins répondre aux questions. Surtout que, suite à la pub, le syndicat commence la distribution cette semaine de 100 000 dépliants dans les chaumières.
Notons tout de même l'ironie de voir celui qui a traité ces mêmes cols bleus de fourreur de système sur les ondes de la radio populiste s'offusquer de se faire servir la même médecine (à dose homéopathique en plus!).
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Voici la pub en question pour nos lecteurs et lectrices qui n'écouterait pas la «radio privé» (probablement la majorité!).
2 commentaires:
Très intéressant !
Criss les boys, laissez Labeaume encaisser ses enveloppes brunes tranquile.
On l'a bien senti passer dans le cas de JARO, mais le budget est "brûlé" maintenant.
Ça prend des nouveaux fonds pour nourrir la petite famille...
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