Entendez-vous ces grenouillements, ces éruptions, ces flatulences? Ce sont celles issues de la fermentation électorale. Déjà, les zélottes de la démocratie-des-petits-bouts-de-papiers-dans-l'urne s'agitent dans l'expectative d'élections. Prêts à s'effacer dans le vide sidéral à la manière de kamikazes, les sbires du Parti Libéral seraient prêts à se lancer sur le thème des droits de scolarité. La grève étudiante, dont l'agitation brule les pieds boudinés de Jean Charest, met le gouvernement dans une situation intenable. L’échappatoire semble idéal: balayer le problème sous une campagne électorale.
Nos camarades étudiant-e-s ne doivent pas succomber aux chants de sirène des élections. Seule la lutte paie! Pour ma part, voici ma stratégie électorale:
1 commentaire:
Les élections sont un autre front de la lutte. Même biaisé et malade, le jeu démocratique garde une certaine utilité.
Les étudiants ont tout intérêt accorder leurs votes à un parti qui s'engage à annuler la hausse. Car s'il ne bronche pas, une défaite de ce gouvernement Libéral s'avère impérative.
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