(via le site fédéral) Depuis le 15 octobre dernier, le mouvement des indigné-e-s s'est installé à Montreal, Québec et d'autres villes de la province, en même temps que dans des centaines d'autres villes dans le monde. Que doit-on en penser? S'agit-il d'un événement « à la mode » qui sera vite oublié, ou, au contraire, le début d'un changement durable?
Afin d'alimenter la réflexion sur le mouvement, ses forces et ses faiblesses, nous vous présentons trois traductions d'articles publiés sur Anarkismo par nos organisations soeurs aux États-Unis et en Irlande.
Construire le potentiel anarchiste et révolutionnaire du mouvement Occupy Wall Street
par First of May Anarchist Alliance et le journal The Utopian
Le politique évité : réflexions sur le mouvement « Occupons X »
par Worker's Solidarity Movement (Irlande)
Des places publiques, jusqu’aux pâtés de maison, jusqu’aux lieux de travail : Propageons les occupations au milieu du tourbillon de la crise!
par Miami Autonomy & Solidarity (États-Unis)
3 commentaires:
je peux pas te dire si c'est un truc à la mode
mais le 99% prouve clairement qu'on souhaite seulement la tête des haut dirigeants. que la classe bourgeoise n'est pas du tout inquiété dans cette lutte. qu'on ne remet pas en cause la privatisation de nos "accomplissements" (école, santé)
on ne remet pas en cause la réelle pauvreté.
la seule chose qu'on remet en cause c'est d'être pris comme des poissons par ce 1%
Y'a rien qui t'empêche de les dépasser et d'aller plus loin, monsieur ou madame l'anonyme.
C'est la principale réaction qu'on a eu face à la crise financière. Faudrait pas non plus oublier que ce qui se passe en Espagne et en Grèce est pas mal plus intense qu'ici. Et même si le mouvement ne remet pas les fondements du capitalisme en question, il a mis le doigt sur un bobo majeur : la concentration de la richesse.
Arrêter de dire qu'on doit aller plus loin. Faites le.
parfait ! luttons contre la concentration de la richesse, main dans la main avec ces bourgeois qui veulent encore plus de crédits d'impôts, un système de santé à deux vitesse, des écoles privés pour leurs enfants, la démocratie via des pantins, des conventions sociales qui exclues les minorités, et j'en passe.
si la classe bourgeoise est prêt à remettre en question tout ça, ça va me faire plaisir de lutter avec eux.
mais je ne discrédite aucunement l'organisation de québec qui occupes la ville. je salue les échanges respectueux, la curiosité qui nous pousse à chercher des solutions.
mais...je n'appuie aucunement le 99%. en farce je pourrais dire que j'appuie le 57%
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