Il n'y a pas de doutes, on est bel et bien en période pré-électorale. Les fanas de la démocratie du petit bulletin dans l'urne commencent à s'agiter dans leur entreprise de culpabilisation bancale. À chaque élection, la même routine.
En gros, disent-ils, si on a un gouvernement de merde, c'est à cause de ceux qui ne votent pas.
Désolé de vous l'apprendre, mais aucune élection n'a empêché un gouvernement de merde d'être élu.
À se (re)taper
La grève des électeurs d'Octave Mirbeau
Le vrai changement de l'UCL
Le vieillard et l’âne (Archet)
3 commentaires:
J'adore me faire baiser, mais je ne vote jamais: j'ai trop peur de tomber sur un pervers fétichiste de l'urne électorale (un urnophile, comme il me plaît de les appeler).
Je trouve de mauvais goût de mixer le sexe avec la question électorale.
Qu'y a t-il de mal à "se faire baiser"?
Je comprends que c'est une expression familière au Québec pour exprimer le fait de se faire avoir, mais dans la culture strait, ce sont souvent les femme qui "se font baiser".
Bref, j'ai un certain malaise à voir l'UCL utiliser ça comme phrase sur une affiche qui va apparaître partout...
Ce n'est absolument pas une affiche de l'UCL mais un détournement d'affiche d'un site électoraliste de merde.
Je suis d'avis qu'une personne peut entrer la protubérance de son choix dans toute la gamme des orifices possibles à sa guise.
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